Nos adresses à Naples, Capri et sur la côte amalfitaine
Heureux à Amalfi
Il y a des invitations qui ne se refusent pas. Quand Giulia de l’agence GD Comunicazione avec qui j’ai travaillé à plusieurs reprises, m’a parlé d’un de ses clients, l’hôtel Santa Caterina, j’ai bondi. Cet hôtel, c’est mon fantasme absolu depuis mon arrivée en Italie, c’est le luxe élégant, dans une structure absolument mythique, à plusieurs niveaux au dessus de la mer. Et puis c’est la côte Amalfitaine donc la région de la Campanie avec tout ce que cela représente : accent, folklore, caffè, pasta et pasticceria.
En collaboration avec l’hôtel Santa Caterina
Le rendez-vous était pris, fin septembre, 4 jours avec Tendre Époux, bien content pour une fois de s’improviser assistant photographe ET d’avoir l’autorisation de plonger dans la mer entre 2 séances.
En toute tranquilité
Laissez-moi vous raconter ce que j’ai préféré de l’hôtel et de mon séjour sur la côte. Vous allez le voir, ce sont des sensations plus qu’un décryptage déco, ce sont des saveurs et des souvenirs qui s’accrochent longtemps à la mémoire, plus que des noms savants de traitement au spa. J’avais envie de partager mes souvenirs à chaud, alors je vous écris assise dans le train du retour, le sourire aux lèvres et le visage un peu halé car ce matin, le tout dernier matin, la météo était exceptionnelle. Je pense avoir officiellement laissé un petit bout de mon cœur à Amalfi, dans cette chambre 22 (nous avions la plus grande terrasse face à la mer). Le Santa Caterina, c’est une adresse qui vous fait ressentir quelque chose de rare, la quiétude. En rentrant dans le hall, en étant happée par la vue, la pression redescend direct, les muscles se détendent, le sourire se dessine, les larmes montent aux yeux. On est saisi par l’exceptionnel, on sait déjà que les jours à venir vont être précieux.
Les visages de l’hôtel
Pour démarrer, j’ai vraiment envie d’insister sur le staff car j’ai rarement vu cette qualité de personnel, cette discrétion quand elle était nécessaire, cet appétence pour l’échange et le partage d’histoires qui font vivre l’hôtel. Parce qu’il réussit cela le staff, être parfaitement imbriqué à la magie de l’adresse. L’apéro n’aurait pas la même saveur sans un serveur qui travaille ici depuis 30 ans, pareil pour le voiturier là depuis 40 qui a tout vu, tout entendu. Les plus jeunes quant à eux observent, apprennent, bien conscients de la qualité de leurs aînés. J’étais aussi heureuse de retrouver certains visages le matin au petit-déjeuner, que mon cappuccino parfait et ma pâtisserie sfogliatella. C’est dire.
Very Big Blu
Indéniable autre qualité de ce séjour, le bleu de la mer accroché à toutes les fenêtres. Il en serait presque paralysant vu l’immensité qui s’offre à notre regard !
Je me souhaite de revivre un jour l’entrée dans l’hôtel et la découverte de la première terrasse, et puis il y avait le café du matin, pris sur la nôtre quand la mer ne bouge pas d’un millimètre. Tout est tourné vers l’eau, tout est une promesse vers le large, tout n’est que gratitude vers celle qui est le décor. Il mare, il grande mare, il mediterraneo. Et cela vaut pour tous les espaces : terrasse des restaurants, salle de sport avec fenêtres immenses, ascenseur panoramique vers le beach club, cabane du yoga … toutes les occasions sont bonnes pour se taire et admirer.
Il mare, il grande mare, il mediterraneo.
J’ai adoré notre première soirée sur la Terrasse du restaurant étoilé Glicine. Au son du piano, notre menu de 5 plats était parfaitement calibré. Un antipasto d’aubergine au riz soufflé avec crème de parmesan, 2 primi de pâtes dont une merveille de raviolis plin, un plat principal où la crevette jouait la star et un dessert. Mention spéciale pour le faux citron : à Amalfi, dont il est l’emblème, on en attendait pas moins. Sachez que vous pouvez profiter de tous les restaurants de l’hôtel même si vous n’y séjournez pas !
Il ritmo delle vacanze
Le Santa Caterina, de par son architecture et ses services, impose doucement mais sûrement le rythme des vacances. L’hôtel est une destination en soi et on doit apprendre à s’en décrocher (pour visiter un peu la côte) et …y revenir vite vite. Oui j’ai adoré me balader à Ravello ou Amalfi mais j’ai tout autant apprécié de me la couler douce, sans pression, en faisant du yoga dans la cabane au son des vagues, en visitant les jardins et leurs citronniers, en faisant du sport dans la salle à 8h avant un petit-dej à rallonge, en plongeant au beach club chaque jour, deux fois dans la même journée s’il le fallait, et étant à l’heure pour l’apéro, en dînant avec Tendre Epoux dans un des autres restaurants de l’hôtel, Senzafine, bistro La terrazza ou Al mare.
Ceramica e limone
Et puis bien sûr, il y a ces détails esthétiques qui me touchent partout dans l’hôtel, des choix, un parti pris. Ces sols fleuris, ces petits pots de céramiques disséminés à chaque niveau, cette simplicité dans les couleurs, les vieux pots des plantes, les matières choisis pour les revêtements des chaises-longues sur les terrasses, ces quelques fleurs dans les vases, ces citrons frais posés sur les chakras pendant le massage au Spa. Tout porte une intention, une vision, celle de ne pas trop en faire mais de montrer que l’on sait exactement ce que l’on fait. De la haute hôtellerie en somme et l’art de créer des séjours inoubliables.
Merci à toute l’équipe du Santa Caterina à Amalfi et à Giulia et Stefano de GD Comunicazione pour cet immense cadeau.
Je n’en ai aucun doute, nous reviendrons.
Alice
Par Ali
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BOBINE
BOBINE #9 6 mois de pause
Bons baisers de