Merci, Alice, de ce beau et touchant partage. Le petit théâtre que tu évoques, je le connais bien! Ma mère avait un appartement au numéro 2 de la même rue, en face de l’eglise Sainte Rita (patronne des causes désespérées, ha ha)! C’est precisement ce divorce qui t’a, certes en partie, construite et façonnée telle une tu es aujourdhui. Et je vis te le dire en itlien, pour le coup: quest’anno, fai nuovi errori. Perché se stai facendo errori, stai facendo cose nuove, provando cose nuove, spingendo te stessa oltre i limiti. Stai cambiando te stessa, e così stai cambiando il mondo. Fai nuovi gloriosi e stupefacenti errori. Non congelarti, non preoccuparti che non sia abbastanza buono. Fai i tuoi errori, quest’anno è per sempre! Bacioni da Amanda Répondre
Grazie Carissima ! Buffo che hai vissuto al numero 2 della strada ! è una zona favolosa. Grazie per le parole carine che danno tanta forza per continuare questo piccolo percorso ! A prestissimo sul blog, Ali Répondre
Témoin de cette douloureuse période, je suis juste heureux de voir où tu en es aujourd’hui… et tu sais quoi, les ailes dans le dos, on dirait bien qu’elles ont repoussé … reste juste à prendre ton envol. Baci e buon anno Répondre
Bonne année Patron !!!!! Trop sympa de te lire ici 🙂 C’est vrai que tu m’as récupérée dans un état lamentable au début d’Aruba hahahaha, dieu merci, le temps est notre meilleur ami. À bientôt, j’espère que ta petite famille se porte bien. Répondre
Première fois que je commente ici bien que je te suis depuis quelques années. Je suis très touchée par ta sincérité. J’ai vécu une chose comparable après le décès de ma mère il y a quatre ans. J’étais complètement perdue. Je n’arrivais pas à changer les choses qui ne me convenaient plus. Après plus d’une année à chercher ce dont j’avais envie, j’ai consulté une psy qui m’a posée les bonnes questions. J’ai pu mettre des mots sur mes douleurs et mes peurs et reprendre ma vie en main. Pas exactement la même vie qu’avant, puisqu’un élément essentiel n’y était plus, mais une nouvelle vie avec une nouvelle « moi », plus forte, plus sûre d’elle, plus femme certainement aussi. Dans quelques mois, je quitte mon travail actuel et je me lance dans le montage d’une entreprise, encouragée par mon compagnon. J’ai peur, mais cette peur n’est plus paralysante, mais stimulante. Je suis impatiente de voir dans quelle direction va ton blog. Bacci Répondre
Chère Caroline, merci infini pour ton message si personnel. Je n’avais pas mesuré la portée de cet article, j’ai vraiment reçu des messages incroyables comme le tien qui me donne envie de continuer. Pour la première fois, je ne sais pas où je vais, mais j’y vais. Je vais essayer de me laisser moi même un peu en paix, prendre une grande respiration et faire confiance à cette aventure. Bravo pour ton parcours ! C’est si important de prendre le temps de comprendre ce qui nous arrive, quand on sent que la machine n’est plus sur le bon set de rails. Bon courage (et merde merde merde) pour ton projet boulot ! Répondre